Attentats de Charlie Hebdo, un an déjà…
Il y a un an, jour pour jour, la France à connu l’horreur le temps d’une semaine
L’horreur d’abord avec le terrible attentat perpétré contre Charlie Hebdo par des terroristes Djihadistes
La semaine qui a bouleversé la France :Trois coupables, dix-sept victimes, et un prénom, « Charlie », devenu le slogan d’un pays tout entier
Les tireurs de #ChalieHebdo face à une voiture de police. Ils ont fait feu, les policiers ont répliqué puis reculé pic.twitter.com/Ld1sxkRLvW
— Elise Barthet (@EliseBarthet) 7 Janvier 2015
Des Hommes valeureux, rédacteurs, dessinateurs, policiers… trouvent la mort face à la folie des terroristes
Puis s’en est suivi une prise d’otage sanglante dans une épicerie Casher porte de Vincennes
L’horreur pour de nombreux parents
Les parents d'élèves peuvent aller chercher leurs enfants sauf dans le périmètre de sécurité. #PortedeVincennes pic.twitter.com/wamdaMriIs
— Académie de Paris (@Academie_Paris) 9 Janvier 2015
L’honneur ensuite, avec un cri d’indignation national sans précédent
Près e 4 millions de Français dans les rues pour condamner le terrorisme et défendre la liberté d’expression
L’ultime blague pour Wolinski
Une bourde gravée dans le marbre, Georges Wolinski, mal orthographié : « Wolinsky ».
Ultime blague pour #Wolinski , la faute de frappe gravée dans le marbre
https://t.co/IQNhqTyCJa pic.twitter.com/BEyVcQhN8K
— Marianne (@marianne2fr) 5 Janvier 2016
Un an après, où en est Charlie Hebdo ?
Avant l’attentat, l’imprimeur de Charlie, qui travaille pour le journal satirique depuis 1992, en tirait 60 000 exemplaires par semaine, pour environ 30 000 ventes. Un mois avant l’attaque, son patron, le dessinateur Charb, avait même lancé un appel pour sauver le titre de la faillite – son humour provocant, hérité des années 70, ne faisait plus recette.
Après les attentats, Charlie a gagné 200 000 abonnés. « Et 300 000 exemplaires sortent chaque semaine des rotatives », explique son directeur commercial